Aller au contenu

Le paradis existe, un neurologue sceptique en revient !


Spirit

Messages recommandés

Le paradis existe, un neurologue sceptique en revient !

Le 10 novembre 2008, le Docteur Eben Alexander, neurochirurgien et chercheur de renommée internationale, ayant enseigné notamment à la Faculté de médecine de Harvard et en exercice dans les plus grands hôpitaux américains, est plongé dans un coma qui se prolongera durant sept jours.

La cause en sera diagnostiquée quelques jours plus tard ; il s’agit d’une maladie rare puisque moins d’un adulte sur 10 millions la contracte spontanément chaque année, à savoir une méningite liée à la bactérie Escherichia coli.

Il est probable que le docteur Alexander avait été contaminé quelque mois auparavant lors d’une visite au Centre Médical de Tel Aviv, en Israël, où le docteur s’était rendu afin de coordonner un programme de recherche sur la chirurgie du cerveau par ultrasons.

Dans un tel cas de méningite bactérienne, la bactérie attaque d’abord la couche externe du cerveau, le cortex. Nous savons que ce dernier est responsable de la mémoire, du langage, de la sensibilité visuelle et auditive et du raisonnement logique.

Or pendant toute cette période de coma subi par le docteur Alexander, l’ensemble de son néocortex – la surface externe du cerveau, considérée comme essentielle à la production de la conscience – était éteint. Inopérant.

Il ne s’agissait pas, nous dit-il, d’une inactivation temporaire liée à un arrêt du cœur intervenu pendant quelques instants. Dans ce cas, explique-t-il, « mon néocortex n’était plus dans le coup ».

Or, contre toute attente, et alors que les médecins envisageaient de le « débrancher », devant la dégradation majeure de son état clinique sans espoir de guérison, le docteur Alexander est revenu à un état de conscience normal en ne présentant au final, fait incroyable, aucune séquelle neurologique.

Guérison miraculeuse, certes ! Mais ce qui interroge le plus, c’est le récit que nous fait le docteur Eben Alexander de cette expérience. Parce que ce qu’il a pu « vivre » à l’occasion de cet événement, « c’est que la mort du corps et du cerveau n’est pas la fin de la conscience », mais « que l’expérience humaine continue au-delà de la tombe ».

Ce qu’il résume sous cette forme : « J’ai rencontré la réalité d’un plan de conscience qui existait totalement indépendamment des limitations de mon cerveau ».

Ce récit me paraît intéressant parce que provenant d’un homme de science et justement spécialiste de cette matière que constitue le fonctionnement du cerveau. Parce que provenant d’un homme informé des expériences de NDE intervenues à l’occasion d’arrêts cardiaques. « Des histoires extraordinaires, sans conteste. Mais tout cela était, de mon point de vue, du pur fantasme ».

Telle était sa vision des choses : « si on ne dispose pas d’un cerveau en état de marche, on ne peut pas être conscient … Quand la machine est cassée, la conscience s’arrête »

Or voilà que libéré de son identité corporelle, et de tout souvenir terrestre, il vit une expérience étrange, un voyage au-delà de notre monde, non pas voyage onirique mais ultra réel, aussi loin nous dit-il et l’a-t-il ainsi senti « de l’illusoire que l’on puisse se trouver ».

Son livre est le récit de cette expérience dont il s’est senti obligé de rendre compte bien qu’il n’ignore pas qu’elle soit tellement étrangère à notre compréhension ordinaire qu’elle fera nécessairement l’objet d’un grand scepticisme, semblable à celui dont il faisait preuve lui-même à l’écoute des récits de NDE dont il prenait connaissance.

Il nous décrit ainsi les étapes de ce voyage. L’immersion profonde dans un monde souterrain sous la forme d’un « point de conscience solitaire », conscience sans mémoire et sans identité. « Repensant à cet endroit, j’en suis venu à l’appeler » nous dit-il, « le Monde Vu du Ver de terre ». Puis émergence dans un monde lumineux à la réalité mille fois plus intense que notre monde terrestre pour accéder à des mondes supérieurs à la vibration plus haute, des espaces où questions et réponses ne font qu’un, au « cœur », à la matrice du système !

C’est donc à un grand panorama de l’invisible et de la face spirituelle de l’existence que le docteur Eben Alexander nous dit avoir eu accès et qu’il essaie de nous faire percevoir via des mots insuffisants pour transmettre la réalité vécue. « Un peu comme essayer d’écrire un roman en utilisant seulement la moitié de l’alphabet »

« Nous sommes loin de la réflexion scientifique ? » questionne-t-il ; « Eh bien, je ne suis pas d’accord. Je reviens de cet endroit et rien ne pourrait me convaincre qu’il ne s’agit pas là de la plus grande vérité émotionnelle de l’univers, mais également de la plus importante vérité scientifique »

 

 

https://vu.fr/JeGC

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Rejoindre la conversation

Vous pouvez publier maintenant et vous inscrire plus tard. Si vous avez un compte, connectez-vous maintenant pour publier avec votre compte.

Invité
Répondre à ce sujet…

×   Collé en tant que texte enrichi.   Coller en tant que texte brut à la place

  Seulement 75 émoticônes maximum sont autorisées.

×   Votre lien a été automatiquement intégré.   Afficher plutôt comme un lien

×   Votre contenu précédent a été rétabli.   Vider l’éditeur

×   Vous ne pouvez pas directement coller des images. Envoyez-les depuis votre ordinateur ou insérez-les depuis une URL.

×
×
  • Créer...